Les choses sérieuses semblent avoir repris sur les chantiers du Stade d’Olembé qui va porter le nom du Chef d’État, Paul Biya. Il faut dire que la nervosité était palpable et les autorités s’inquiétaient du fait que tout cela prenait bien de temps. Mais la réalité est qu’il faut du temps à tout entrepreneur pour comprendre les travaux entrepris par quelqu’un d’autre avant de pleinement se mobiliser. Dans le cas présent, Gruppo Piccini a pratiquement refusé tout transfert de savoir. Magil se devait donc de s’y atteler tout seul.