Si les pouvoirs publics camerounais, empêtrés dans leur mauvaise gestion, ont abandonné le football ou plutôt le sport depuis des dizaines années, il faut reconnaitre que, par un heureux concours de circonstances, il est désormais intéressant de voir les équipes des championnats d’élite pratiquer leur art dans des conditions minimalement intéressantes. Les terrains, et surtout les terrains d’entraînement, aux dimensions humaines permettent d’avoir un regard différent sur nos championnats et par ricochet sur les joueurs.