Maladroits dans la gestion des choses du football africain depuis leur élection en mars 2017, après s’être dédits une bonne dizaine de fois sur leurs intentions d’abord par rapport au pays organisateur de la CAN 2019 et maintenant de celles de 2021 et 2023, les dirigeants du football africain sont coincés dans les conséquence de leurs décisions qui frisent l’arbitraire. Poussés dans leur dernier retranchement par la décision de la Côte d’Ivoire de les trainer au TAS, Ahmad et Omari, le vice-roi, multiplient les sorties contradictoires.