Si le but de cet article est de nous apprendre comment Eto’o a procédé pour essayé d’unir les footballeurs camerounais autour d’un même projet, il ne nous dit pas pourquoi, il n’a pas soutenu la candidature de Joseph-Antoine Bell à la Présidence de la FECAFOOT en 2015 ou en 2018 où toutes les planètes auraient pu s’aligner autour d’une seule et même candidature, Milla, Ekeke et Omam ayant rejoint Bell.
Trop tard ! Je suppose, puisque c’est le camp de Samuel Eto’o qui a pris le pouvoir avec Dieudonné Happi depuis août 2017 et qui ne compte plus le lâcher, d’où la volonté de placer l’un des leurs, Seidou (...)