Le football est un sport étrange et imprévisible, Inter Milan a montré au yeux du monde qu’il dispose d’individualités de premier plan. C’est une équipe énorme et incroyable. Unique, comme le match disputé au Camp Nou. Le récital est un poème épique, celui à raconter. Le score final de 3-3 ne décrit pas les retournements de situation, coups sanguins, exaltations et regrets, dont a fait montre cette rencontre. Il y a eu de tout, dans un match dont on se souviendra longtemps et qui ouvre de fait les portes à l’Inter pour un éventuel passage en huitièmes de finale.
Le destin de André Onana et des siens se décidera le mercredi 26 octobre, à San Siro. L’Inter aura la balle de match dans les jambes. Avec une victoire face au Viktoria Plzen, l’équipe d’Inzaghi entrerait en phase à élimination directe.
Tout y est passé. Inter a encaissé le premier, puis va passer devant avec les buts de Barella et Lautaro. Le rouleau compressur de Barcelone est constante. Lewandowski va jouer de chance pour le 2-2.
Tard dans la rencontre, à la 89′, encore un rebondissement. Le but de Gosens pour le 2-3, un ballon parti des pied de Onana qui a lancé Lautaro pour une contre attaque. Ce but a donné l’illusion de la victoire. Mais qui d’autre que Lewandowski à la 92e minute, pour profiter de l’absence de couverture défensive? Et Inter va encore bénéficier d’une chance à la 95e. Mais Gosen va trouver le gardien.
Onana conduit l’Inter à un quatrième match sans défaite.