Ignatius Ganago est désormais un joueur du RC Lens. Malgré son jeune âge, il a déjà à son actif plus de 50 matchs en Ligue 1. L’ancien joueur de l’OGC Nice a été séduit par le discours des dirigeants de Lens et la convergence de vue sur sa progression l’a convaincue à quitter son cocoon douillet de la Côte d’Azur. S’il avait évolué jusque là sur les ailes, il ambitionne de devenir un attaquant de pointe pur et Lens lui offre cette opportunité. Il sait que la tendance du club sera plus au maintien qu’à la recherche d’une place dans une des compétitions continentales, mais est convaincu de l’opportunité d’apprendre et de progresser.
Il a accordé une interview au site web de son nouveau club. Entretien …
Présentation
« J’étais dans un centre de formation au Cameroun, jusqu’à mes 18 ans. Ensuite j’ai signé à l’OGC Nice où j’ai évolué durant 3 belles saisons.
Le RC Lens
« Le Racing a contacté mon agent car il recherchait un joueur de mon profil. Je n’ai pas hésité longtemps !
J’ai parlé avec le coach Franck Haise et j’ai vu que beaucoup de choses me plaisaient : le système de jeu, la façon de travailler, les ambitions du club, la relation avec les supporters… ça m’a vraiment aidé dans mon choix. Lens est un club familial et le public lensois est proche des joueurs.
J’ai fait mes recherches sur le RC Lens. Il a été Champion de France et ce n’est pas rien. Il veut se maintenir en Ligue 1 et je suis là pour ça. Je vais tout donner pour ce club ! J’ai aussi regardé les profils des joueurs Lensois pour les connaître. »
Ton profil
« Je suis jeune mais j’ai disputé beaucoup de matchs en Ligue 1. Je pourrais apporter mon expérience, tout comme mes nouveaux équipiers. On est ici pour s’entraider et se compléter.
Je suis un attaquant, je ne suis pas très grand, je vais vite, je suis bon techniquement et je marque. »
Bollaert-Delelis et ses supporters
« Je n’ai jamais eu la chance de jouer à Bollaert-Delelis mais j’ai eu beaucoup d’échos. On m’a dit que c’est l’un des meilleurs publics de France. Les supporters poussent les joueurs, ils ne lâchent rien. On va tout faire pour leur rendre la monnaie de leur pièce car ils nous supportent tous les jours et payent leur billet pour venir nous voir. On doit mouiller le maillot et gagner des matchs pour leur faire plaisir. »