C’est le Nacional Club qui l’a révélé au monde entier. Et c’est au Nacional Club de Montevideo qu’il va probablement finir sa carrière. Lorsqu’il quitte son club au Cameroun, Stade de Bandjoun, et pose ses valises en Uruguay en 2000, il était déjà convaincu que ce pays de l’Amérique latine allait lui offrir un cadre propice à son développement. En trois ans dans le club, il a remporté trois championnats et ses buts ont largement contribué à ce succès. Quinze ans après, il y retourne, cette fois-ci en tant que joueur libre.