Au lieu de privilégier un transfert direct, le Paris Saint-Germain a opté pour un prêt avec option d’achat pour Hugo Ekitike. La raison pourrait se cacher derrière le respect du fair-play financier.
Un prêt avec option d’achat obligatoire pour un attaquant français qui évolue dans le championnat de France. Au PSG, il y a comme un air de déjà-vu. Souvenez-vous, en 2017, Kylian Mbappé quitte Monaco pour rejoindre le club de la capitale. Au lieu de miser sur un transfert direct, la formation de Nasser El-Khelaifi avait déjà opté pour ce mode de recrutement.
Un prêt avec option d’achat obligatoire pour un attaquant français qui évolue dans le championnat de France. Au PSG, il y a comme un air de déjà-vu. Souvenez-vous, en 2017, Kylian Mbappé quitte Monaco pour rejoindre le club de la capitale. Au lieu de miser sur un transfert direct, la formation de Nasser El-Khelaifi avait déjà opté pour ce mode de recrutement.
Rebelote en 2022. Paris a réalisé la même opération pour s’offrir les services d’Hugo Ekitike. L’attaquant du Stade de Reims n’est que prêté cette saison, mais appartiendra définitivement au PSG le 30 juin 2023, lorsque l’option d’achat sera levée automatiquement.
Un montage financier ?
Mais pourquoi le PSG a-t-il décidé d’opté pour un recrutement à retardement ? Certainement pour respecter le fair-play financier et son budget, comme l’évoque l’Équipe ce dimanche matin. Lors de leur passage devant la DNCG, les Parisiens ont présenté un budget de 80 millions d’euros pour la saison 2022-2023 (hors ventes éventuelles).
Paris a levé l’option de Nuno Mendes qui s’élève à 36 millions. Ils ont également recruté Vitinha, à hauteur de 40 millions (payés en deux fois). Avec ces transferts, le budget est déjà bien entamé. Les ventes d’Alphonse Aréola à West-Ham pour 12 millions, et de Marcin Bulka à Nice (2 millions), ne sont pas suffisantes pour pouvoir dépenser les millions nécessaires à la venue d’Ekitike. Le PSG assure donc ses arrières au niveau du fair-play financier en procédant ainsi.