Dans l’effectif des Reds depuis quelques semaines, Joël Matip, 24 ans, s’est vite adapter. Son intégration se fait facilement au fil des jours et des séances d’entraînement. Le défenseur international camerounais ne veut décevoir personne, surtout pas son nouvel entraîneur, Jorgen Klopp. Son objectif étant de montrer à tous qu’il n’est pas à Liverpool par complaisance.
Joël Matip a l’intention de prouver au championnat anglais que Liverpool est devenue une nouvelle équipe, depuis son arrivée cet été. Le défenseur international camerounais ne veut pas seulement jouer des matchs et les remporter, mais montrer également qu’il mérite sa place au sein du groupe qu’entraîne Jorgen Klopp. L’entraîneur des Reds a (presque) toujours été séduit par le jeu de l’ex sociétaire de Schalke 04. Joël Matip est motivé à l’idée de se frotter à ce qui se fait de mieux dans la planète football, en tant que championnat.
Chelsea, Barça et Roma au programme
«C’est pour cela que je suis venu ici. Je veux jouer contre les meilleurs pour progresser. Je suis pressé de commencer ! Bien sûr, il y a de la pression, mais je pense que je suis assez bon pour faire abstraction et montrer ce que je vaux», indique le Lion Indomptable sur le site officiel du club. Et quand la presse lui demander ce qu’il compte apporter de plus à sa nouvelle équipe, le défenseur a une réponse suffisamment claire. «Ce que je peux apporter ? Mon jeu aérien, que ce soit sur corner ou coups de pied arrêtés. La Premier League est très physique (…) je suis assez confiant. Je veux prouver que j’ai le niveau des meilleurs», dit-il encore dans les mêmes colonnes.
Après de premiers matchs de préparation de la saison contre des adversaires peu dangereux comme Tranmere Rovers, Fleetwood Town ou encore Wigan Athletic, Joël Matip et son équipe ont rendez-vous avec de plus gros poissons, toujours dans le cadre des matchs de pré-saison. Le Camerounais et les siens affrontent Chelsea le 28 juillet, puis l’AS Rome le 02 août, ensuite Barcelone quatre jours plus tard (06 août) et enfin Mayence, le lendemain du duel avec le club catalan.
Arthur Wandji