Depuis deux ans au sein d’un club du bas de tableau en Belgique et qui doit se battre année après année pour sa survie, l’international camerounais n’a jamais fait l’unanimité. Ce serait peut-être parce que le Directeur Sportif qui l’y a emmené, son ancien sélectionneur en équipe nationale du Cameroun, a été combattu et n’y a pas fait long feu. Et au vu de son contrat de longue durée, le club ne pouvait donc pas s’amuser à se débarrasser de lui.
Ils ont cependant attendu le bon moment. Et c’est profitant des reportages des médias qui accusaient Ondoa d’avoir organiser une grosse fête dans son appartement alors que le pays était en confinement à cause de la pandémie due au COVID-19 qu’ils ont licencier sur le champ le Camerounais. Il n’avait même pas eu la chance de se faire entendre et de donner sa version des faits. Qu’importe.
Moins de deux mois après sa mise à l’écart, il s’engageait avec le club de la Liga Espagnole, Levante. Il a été transféré pour le reste de la saison avec l’ambition d’aider son nouveau club à se maintenir dans l’Élite. Après tout, Ondoa est un gardien qui aime la pression.
Vos commentaires
Suivre les commentaires :
|
