« Quels que soient les handicaps que l’on peut avoir, il ne faut pas que cela déséquilibre notre préparation. On a souvent vécu des situations plus difficiles que celle-là et on s’en est toujours sorti. Rien n’est nouveau pour nous. Il y a quelque chose au bout, la qualification. Aucun de mes coéquipiers ne veut quitter la compétition demain (mercredi) juste parce que les conditions ne sont pas réunies. C`est même un des facteurs qui va nous donner plus de moral et de détermination. »