Interviewé à la fin du match entre le Cameroun et le Brésil, Vincent Aboubakar explique avec éloquence son but. Il met en avant ses coéquipiers et a des mots très forts pour Devis Epassy qui a comblé avec brio le vide laissé par André Onana.
Le capitaine Aboubakar Vincent a été interviewé par BeinSports.
Alors c’est une victoire de prestige et et c’est un super but de votre part !
Je pense qu’il faut souligner l’état d’esprit du collectif. J’avais fait un petit discours et j’ai dit à mes coéquipiers qu’on pouvait le faire. Quand j’ai vu le temps et qu’on était à la 80e minute, je me suis qu’il faut que je sois focus, que je joue le placement. Dès que j’ai vu mon coéquipier partir sur le côté j’ai fait un appel comme je veux aller au premier poteau. Il a anticipé et je suis juste revenu. Et quand mon coéquipier centré le ballon, j’ai juste remis là où c’est venu. Je pense que c’est une victoire, mais après la qualification, ça dépendait pas de nous parce que la Suisse a gagné. Donc c’est dommage. On peut dire que c’est une victoire amère. Nous sommes quand même sortis de la compétition la tête haute.
Il faut quand même souligner que ça fait des années que le Cameroun n’a pas gagné un match de la Coupe du monde. Je pense que c’est déjà une marque de progression. Dans dans les années à venir, les prochaines générations vont faire mieux que nous, j’espère. La façon dont ça s’est joué contre la Suisse, très clairement c’était ce match là qu’il fallait gagner.
Est-ce que les querelles à l’interne et ce qui s’est passé avec André Onana, est-ce que ça a un petit peu perturbé le groupe à un moment ou pas du tout?
Je ne peux pas je ne peux pas polémiquer sur ce qui s’est passé. André c’est quand même un de mes coéquipiers. Devis Epassy a montré qu’il est aussi un bon gardien. Le foot c’est ça. Il faut savoir saisir l’occasion et lui il l’a saisi.
Pleinement et entièrement d’accord avec Etoo que seuls les esprits retors ne veulent pas comprendre. En tout cas, la dynamique est lancée et elle ne s’arrêtera plus et je ne parle pas que de foot. Ceux qui ne comprennent pas aujourd’hui, comprendront demain
Parfaitement d’accord, si lui même se remet en question, et s’efface un peu et laisse les acteurs être au 1er plan, qu’il laisse le bling le bling,et s’occupe réellement de l’administration du football et rien d’autre que ça!
eto’o avec ses magouilles sur la liste des joueurs du Cameroun devrait se taire. Qu’il nous dise plutôt la vérité sur les ndolès qu’il a fait sélectionner pour le mondial aux dépens de joueurs méritants.
Aucun de ces equipes qui reussissent ne mette le tchoko et la corruption en premier plan. Les Lions imdomptables ne vont jamais rien foutre avec ces vaut riens corrompu jusqu’a la moelle epiniere de Song, Kala, Simo comme selectionneurs des joueurs.
Et celui d’Etoo continu a bavarder sans honte alors qu’il est le chef corrompu lui meme.
Tot ou tard vous encaisserez pour vous.
[…] Toutefois, le choix de Paganelli n’est pas anodin. Triple vainqueur de la ligue des champions en 2006, 2009 et 2010 et vainqueur de la CAN en 2000 et 2002, Samuel Eto’o a eu une riche carrière. […]