Le regard sur les infrastructures sportives au Cameroun, pour être précis, celles du football est désormais plus positif. On peut tout de même déplorer que ce soit seulement quelques grandes villes qui ont bénéficiées des retombées des compétitions internationales. Au littoral, la seule mégapole de Douala a vu pousser d’un peu partout des stades de jeu et d’entraînement alors que les autres auraient à tous le moins pu se voir installer ne serait-ce que des terrains d’entraînement. Édéa n’est distante de Douala que de 40 kilomètres.
Bonabéri aurait aussi pu voir quelques infrastructures s’y installer, tout comme Mbanga.
Dans la région du centre, Yaoundé a été la principale gagnante. Idem pour Garoua dans la région du Nord.
Les autorités devraient à tout le moins aussi penser à doter les régions oubliées d’infrastructures pour permettre le développement de l’activité du football sur leur territoire.
Pour ce qui est de Douala, le regard du quartier Bépanda où est installé le stade de la réunification a totalement changé.
A quoi ressemblait ce stade avant la grande rénovation ? regardez par vous-même :