Le Président de la fédération camerounaise de football a accordé un entretien à «Winwin», un média du Qatar. Avec détail, il a assuré que voir le Maroc arriver à ce niveau en Coupe du Monde est «tout sauf une surprise». Pour Samuel Eto’o, le Royaume du Maroc a construit ce succès autour des investissements dans la formation, mais surtout au niveau des infrastructures. Cette performance le réjouit étant donné que les Lions de l’Atlas sont «les porte-étendard de l’Afrique au Qatar».
Lors du jeu de pronostics quelques jours avant le début de la compétition, il avait prévu que le Maroc, mais aussi le Cameroun arriveraient en finale. Si son pays n’a pas pu tenir cette promesse, ses prédictions se sont avérées totalement justes pour l’autre moitié du tableau. Le Maroc devait être en tête de son groupe, puis éliminer l’Espagne en huitièmes de finale, et le Portugal en quarts.
Pour expliquer ses prédictions dithyrambiques, il a estimé que le Maroc «avait tout, un président de fédération visionnaire, qui a donné les moyens à son football pour que son équipe soit parmi les meilleures dans le monde».
Face au média «Winwin», Samuel Eto’o est revenu sur ses prédictions:
«C’est un exploit mérité, fruit d’un travail colossal et d’une grande volonté de développer le football au Royaume du Maroc. Il y a aussi une grande présence au niveau mental et physique chez les joueurs, qui sont encadrés par un jeune staff, formé selon les normes scientifiques… Beaucoup n’ont pas apprécié le fait que j’ai prévu la qualification du Maroc en finale, avant le début du tournoi, en compagnie du Cameroun. Ces déclarations n’ont pas été faites au hasard, car nous disposons de joueurs africains qui se sont imposés en Europe, dans les plus grands clubs. Notre potentiel est grand, à l’image de celui de l’Europe ou de l’Amérique latine, nous sommes même meilleurs au niveau de la technique et du talent. Seule la confiance nous manquait, et nous devons à présent soutenir le Maroc, qui est devenu un exemple pour lutter contre les mentalités défaitistes dominantes».
Samuel Eto’o
Les signaux étaient bien là et il ne fallait que les lire, selon le Président de la Fécafoot. Le Maroc, lors des dernières années a dominé les compétitions africaines interclubs, sans oublier le football féminin avec la finale de la CAN féminine et le sacre de l’AS FAR en Ligue des champions de la CAF. Samuel Eto’o a clairement appelé les médias à revoir leur discours et à rompre avec les termes «surprise» et «coïncidence», estimant que ces descriptions encouragent les idées régressives et sous-estiment le football africain.
«Il est temps que l’Afrique s’affirme sur la scène mondiale et nous serons tous derrière le Maroc, notre porte-étendard au Qatar… Je le clame haut et fort : l’Afrique jouera la consécration en Coupe du monde dans 4 ans !»
Samuel Eto’o
Pleinement et entièrement d’accord avec Etoo que seuls les esprits retors ne veulent pas comprendre. En tout cas, la dynamique est lancée et elle ne s’arrêtera plus et je ne parle pas que de foot. Ceux qui ne comprennent pas aujourd’hui, comprendront demain
Parfaitement d’accord, si lui même se remet en question, et s’efface un peu et laisse les acteurs être au 1er plan, qu’il laisse le bling le bling,et s’occupe réellement de l’administration du football et rien d’autre que ça!
eto’o avec ses magouilles sur la liste des joueurs du Cameroun devrait se taire. Qu’il nous dise plutôt la vérité sur les ndolès qu’il a fait sélectionner pour le mondial aux dépens de joueurs méritants.
Aucun de ces equipes qui reussissent ne mette le tchoko et la corruption en premier plan. Les Lions imdomptables ne vont jamais rien foutre avec ces vaut riens corrompu jusqu’a la moelle epiniere de Song, Kala, Simo comme selectionneurs des joueurs.
Et celui d’Etoo continu a bavarder sans honte alors qu’il est le chef corrompu lui meme.
Tot ou tard vous encaisserez pour vous.
[…] Toutefois, le choix de Paganelli n’est pas anodin. Triple vainqueur de la ligue des champions en 2006, 2009 et 2010 et vainqueur de la CAN en 2000 et 2002, Samuel Eto’o a eu une riche carrière. […]