Devenu chef de la Fédération camerounaise de football le 29 septembre 2015, l’ancien secrétaire général devenu président par la voix des urnes, aura marqué en blanc comme en noir, l’année 2016 finissante.
Plus d’un an après sa prise de pouvoir à Tsinga dans un environnement marqué par une normalisation d’abord célébrée, puis violemment vilipendée quelques mois plus tard, le boss, en dépit de quelques initiatives mais aussi de coups foireux, reste un homme dont le mandat est tout, sauf un long fleuve tranquille.
Entre la guerre sans fin que lui ont déclaré ses « ennemis » et l’indéfectible soutien du ministre des Sports et de l’éducation physique, Tombi livre à Tsinga, un match dont l’issue est des plus incertaines.