Que pensez-vous du débat selon lequel cinq entraîneurs pour une équipe, c’est trop ?
C’est toujours comme ça que ça se passe. Il y a toujours des collectifs à la tête des équipes, mais c’est l’entraîneur principal qu’on présente. Ce n’est pas nouveau. L’encadrement technique des équipes est toujours un collectif.
Vous avez beaucoup travaillé avec les jeunes joueurs. Faut-il s’attendre à ce qu’il y ait un rajeunissement de l’équipe ?
C’est essentiellement des critères de performance. Si on se rend compte que les jeunes sont les plus performants, évidemment ils vont être préférés. Nous allons étudier tous les compartiments de l’équipe et s’il faut réellement un rajeunissement, nous allons le faire.
N’avez-vous pas le sentiment d’avoir hérité d’une patate chaude ?
La vie est faite de défis. Je pense que la nation nous a confié une tâche. Elle est difficile, mais nous allons nous mobiliser pour nous qualifier.
Comment comptez-vous combattre le hold-up de l’équipe nationale par certains cadres ?
Je ne peux pas déjà dire qu’il y a hold-up, parce que je n’ai pas vécu avec le groupe. En tout cas, les missions sont claires. Il faut faire une équipe qui puisse fonctionner normalement et où il n’y a pas de problèmes entre les joueurs et les entraîneurs, encore moins entre les joueurs. S’il y a des problèmes de ce genre, nous mettrons de l’ordre dans l’équipe pour que tout soit lisible.