Vous êtes cinq pour entraîner l’équipe nationale du Cameroun. N’est-ce pas trop ?
En 1990 nous étions autant et vous avez vous-mêmes vu les résultats. Quand un enjeu de cette importance est devant vous, il n’y a pas une main de trop. Nous avons un objectif national et je pense que si nous l’atteignons, nous serons tous gagnants. Sachez que toutes les équipes du monde sont dirigées par des collectifs. C’est vrai qu’il y en a qui travaillent dans l’ombre et ne se font pas voir. Je pense qu’il n’y a pas de raison d’avoir peur. Plus on travaille ensemble, moins il y a des possibilités d’avoir des fautes. Nous avons un objectif commun et c’est l’idée qui nous anime. Nous nous connaissons tous.
Quel est le problème des Lions Indomptables ?
Il serait hâtif ou prétentieux pour moi de dire quoi que ce soit maintenant. Laissez que le collectif se mette en place et je pourrais, en ce moment-là, vous en dire un peu plus. Il ne faut anticiper sur rien. On a mis un collectif en place, qui est bien déterminé. Laissez-nous le temps de travailler et vous verrez bien.