Jean II Makoun reste solidaire au groupe. Même s’il n’avait plus été appelé depuis belle lurette en équipe nationale, il estime que même si c’est regrettable d’avoir refusé de jouer un match aussi prestigieux contre l’Algérie, certains problèmes entre joueurs et dirigeants se doivent d’être aplanis.
Les joueurs ne battent pas en retraite. Les primes de présence, c’est une institution disent-ils. Et que le montant soit autant dérisoire ne le gêne en rien. Ils y tiennent.
Mais son départ Lundi n’avait rien à voir avec le match avorté. Deux jours plus tôt, après une discussion avec le sélectionneur Denis Lavagne, il avait reçu l’autorisation de quitter le groupe Lundi et ne devait donc pas prendre part au match contre l’Algérie.
BP