L’international camerounais Allan Nyom, sociétaire de Grenada en liga espagnol, s’est prêté à notre jeu de questions – réponses. L’ambiance dans la tanière, ses rapports avec ses coéquipiers, ainsi que ses rêves font parti des sujets que nous avions abordés.
Au sujet de l’ambiance dans la tanière …
On rigole beaucoup Il y a une bonne ambiance.
Titulaire en club et ne semblez pas avoir la confiance de votre sélectionneur. Comment vivez-vous cette situation ?
Je respecte les choix de l’entraîneur et puis je travaille aux entraînements. Si un jour il m’aligne, je serais prêt.
Comment vivez-vous cette concurrence avec la reconversion d’un milieu de terrain?
Je n’y vois aucun pas de problème. Nous défendons le même drapeau. Et en plus, Georges a été mon co-chambreur.
Quel regard portez-vous sur les trois dernières rencontres des lions indomptables?
Je pense que nous méritions de gagner ces trois matchs. En Libye, nous n’avons pas eu de chance. On méritait de remporter cette partie. Les deux autres se sont soldés par des victoires méritées. Clairement en Libye, nous n’avons vraiment pas eu de chance. Un match nul aurait déjà été une injustice.
Comment avez-vous trouvé le public camerounais ?
Il vit le foot à 100%.
Et l’antipathie qui a suivi la défaite contre la Lybie?
Nous savions qu’il fallait continuer de travailler et que si nous faisions de bons résultats, nous nous réconcilierions avec nos supporters.
Quelles sont vos ambitions à titre personnel ?
Rester le plus longtemps possible avec la sélection.
Et en club ?
En club, de continuer de pouvoir progresser, de pouvoir jouer les matchs. J’ai eu la chance de pouvoir jouer 32 matchs la saison dernière en Liga. J’aimerais pouvoir faire la même chose cette saison.
Propos recueillis par James Kapnang