Au terme du match nul (2-2) concédé en amical mercredi contre le Sénégal, Nchout Njoya Ajara s’est fondue dans une déclaration aux allures d’apologie de Samuel Eto’o. Avant de faire une mise au point.
« Beaucoup de choses ont changé depuis l’arrivée de Samuel Eto’o. Je me rappelle à l’époque, on était obligé de payer nos transports nous-mêmes pour aller aux entrainements. Aujourd’hui les choses ont changé et nous dormons mêmes seules dans les chambres ». En faisant cette déclaration relayée par Cfoot au soir du match nul (2-2) concédé mercredi contre le Sénégal, Nchout Njoya Ajara ne s’imaginait pas que ses propos allaient créer la polémique.

Avant l’avènement du Comité exécutif de Samuel Eto’o, ceux de Tombi a Roko et Seidou Mbombo Njoya faisaient déjà en effet d’énormes efforts à la Fédération pour mettre la sélection nationale de football féminin dans de bonnes conditions. L’attaquante de l’Inter Milan s’est rendue compte de sa bourde et a tenu à faire une précision 24 heures plus tard. « Lorsque je parle de l’époque il faut préciser qu’il s’agit des années 2008 quand j’arrivais à l’équipe nationale. Des changements ont été observés au fil de temps et aujourd’hui le football féminin occupe une vraie place de choix. Merci au gouvernement, à la Fécafoot et aux supporters c’est à grâce à vous », a publié la joueuse sur Facebook jeudi. Trop tard ?
On ne peut plus s’exprimer sans quiproquo ? Ce qu’elle dit est vrai. Elle est entrain de vivre des changements. Chaque équipe dirigeante fait avec les moyens de son époque. Cela ne signifie pas forcément qu’elle est mauvaise. Et elle ne critique pas ses anciens encadreurs.
Aux États-Unis, les filles se sont battues pour obtenir des victoires sur le terrain que même les hommes n’ont pas. Le résultat c’est qu’elles ont désormais le même salaire que les hommes. Elles peuvent évoquer ces changements avec joie sans que cela crée des polémiques.
Si elles réussissent à se mettre au toit de l’Afrique , elles mériteraient le même traitement que les hommes.
Vraiment c’est comme si ce site de Camfoot cherche et applique TOUS LES MOYENS pour chercher les poux dans les cheveux de SEF9 afin de le diffamer personnellement et, à TOUT PRIX, mettre les bâtons aux roues de son leadership de la FECAFOOT. Spécifiquement, le journaliste Louis Paul Bisseck et, parfois, ‘La Rédaction’ (déguisement du même sieur?) semblent continuellement embusqués pour guetter, susciter ou même, à partir d’un rien, inventer des histoires médisantes pour nuire ou chercher noise à SEF9.
Est-ce la fin du monde si Ms. Nchout affirme des apports POSITIFS dans les progrès qu’elle affirme voir et vivre depuis ou, simplement, sous le leadership de SEF9? Pourquoi Camfoot est obsédé à créer et maintenir des zizanies malsaines autour du président Eto’o et, par là même, contribuer à défavoriser et freiner le développement du foot Camerounais?
N’est-il pas temps de NOUS JOINDRE TOUS à SEF9 en esprit, en paroles et par écrits pour encourager et/ou contribuer à booster ses plans et efforts pour corriger les tares du passé et continuer à développer et enrichir le foot Camerounais; surtout à 5 mois du Mundial Qatar2022 et 12 mois de la CAN CI2023? Pourquoi, dans la course de l’inévitable et incessante compétition universelle des nations, sommes-nous TOUJOURS au Cameroun des irréductibles experts à nous shooter à notre propre pied?
SVP CAMFOOT CESSEZ CE SABOTAGE DE SEF9 ET DU FOOT CAMEROUNAIS! Il ne manque pas de VRAIS évènements sportifs auxquels vous devriez vous concentrer à nous informer pour enrichir notre intellection individuelle et collective!!!
Tu as tout dit et bien dit.
Avant la ce n’était pas la FECAFOOT mais la fecafood, une petite mangeoire petite soeur de la grande mangeoire nationale, le rdpc. À l’époque CAMFOOD se gavait comme tous les membres où on trouvait 2 ou 3 anciens footballeurs pour utiliser leur image pour faire de la diversion.
Monsieur ETO’O est arrivé, il est entrain de remettre l’église à sa place, au milieu du village et ça n’arrange pas les sorcières privées de leurs avions de nuits.
Aujourd’hui, on a un coach Camerouunais assisté des camerounais en majorité, il n’y a plus de retrocommission sur le salaire du coach. L’argent destiné au transport des joueuses et à leur logement n’est plus détourné pour les entasser à 3 ou 4 dans la même chambre et les obliger de payer elles’mêmes leur transport pour participer aux entraînements. Leurs primes ne sont plus ponctionnées ou simplement détournées et Mademoiselle AJARA ne doit pas reconnaître et témoigner des changements du management qu’elle est entrain de vivre, elle doit se taire ou mentir.
Vous comprenez pourquoi, ce système corrompu mis en place perdure. Les bénéficiaires ne veulent pas perdre leur mangeoire, ils y tiennent et sont prêts à tout pour maintenir ce sale système qui tue le développement de notre pays qui serait émergent dépuis les années 2000 et particulièrement notre Football qui aurait déjà gagner une coupe du monde ou du moins atteint au moins les demi-finales ou la finale.