Jean-Baptiste Bisseck n’est finalement pas le sauveur que le Cameroun cherchait. Il est vrai que Samuel Eto’o a joué au poker lorsqu’il a décidé, quelques jours seulement avant une séquence éliminatoire, de changer de sélectionneur. Manque de vision, de doigté, d’expérience, le Président de la Fécafoot, on peut l’affirmer aujourd’hui, a erré. Ngo Mbeleck a donc été obligé de constater les dégâts et de faire son mea culpa.
S’il est connu comme un entraîneur avec de la qualité, Jean-Baptiste Bisseck n’a pas eu assez de temps pour connaître le milieu du football féminin. Le résultat de cette nomination est l‘élimination dès la première ronde des Lionnes indomptables.
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