Après deux éditions réussies en 2022 et 2023, les interpoules 2024 vont se jouer dans des stades sans gradins.
Sous le magistère de Samuel Eto’o, la Fecafoot aura connu plus de tumultes que durant toute son existence. Récemment créée, l’ONIES fait déjà partie des ennemis de la Fédération.
Office national des infrastructures et équipements sportifs ayant à sa tête l’ancien Lion indomptable Joseph Antoine Bell s’attelle à restaurer la grandeur et la beauté de nos stades.
Dans cette optique, des coûts de location sont appliqués. A la Fédération, l’on estime que ces coûts sont fixés à dessein pour nuire aux ambitions de Samuel Eto’o.
Une autre hérésie fédérale. A Tsinga, l’on estime que tout ce qui est fait dans la norme concoure au sabotage du président. Résultat des courses, les interpoules 2024 sont délocalisés.
Après Limbé en 2022 et le stade de Ngoa Ekelle à 2023, les interpoules se dérouleront, en ce qui concerne les premières journées, aux centres techniques de la Fecafoot et de la CAF à Odza et à Mbankomo, dans la périphérie de Yaoundé.
Si les pelouses desdits stades sont du gazon synthétique, l’absence des gradins posent un véritable problème. Les supporters n’auront pas la possibilité de s’asseoir ni de se protéger en cas de pluie.
Ces sites qui ne sont pas sous la direction de l’ONIES, ont été choisi parce qu’ils ne vont rien couté à l’exécutif fédéral qui voit ses finances battre de l’aile au fil du temps.
Ceci traduit l’incapacité de la Fecafoot à faire fi des problèmes d’ordre personnel qui entourent son président.
Le football qui est un alliage de spectacle sur et en dehors de la pelouse, se jouera aux interpoules 2024, sans le 12e homme.