L’affaire a fait grand bruit en septembre dernier et la carrière professionnelle de Aloys Fouda a failli en pâtir. L’École des Brasseries du Cameroun avait envoyé une facture colossale au club de football de Ligue 2 de France, Caen, pour réclamer des indemnités de formation relative au jeune camerounais. En dépit des preuves de falsification flagrante sur la licence FIFA du joueur, cette académie a porté plainte contre le club français à la sous-commission de la Chambre de Résolution des Litiges. Le juge a décidé de simplement rejeter cette demande.
Les Brasseries sont aussi condamnées à payer tous les frais de procédures, soit 12 000 francs Suisse.
Cette décision présuppose aussi que Caen ne doit aucun copeck à l’école des Brasseries du Cameroun même si le jeune y a suivi une formation à une période bien déterminée. Une des règles dondamentales de la formation est qu’après les U12, un centre de formation ne peut toucher aucune indemnité si on estime que la formation a été payée en tout ou en partie par les parents ou proches des joueurs.