Quelques mois après une réécriture des textes sous le contrôle de la FIFA, Samuel Eto’o a initié une autre sur deux articles qui le mettaient en danger. Entre temps, il a été condamné par la justice espagnole à une peine privative de liberté de 22 mois. Il n’a évité la prison qu’à une substilité de la loi. N’en demeure moins que son casier judiciaire est tâché.
Il n’aura plus à s’inquiéter désormais. Cette modification de deux lois fondamentales des élections dérange. En fait, elle s’écarte du cadre des statuts-types sur lesquels sont appuyées ceux de toutes les fédérations au monde. On pourrait même penser que c’est pour garder Samuel Eto’o au pouvoir. C’est que tout ce qui a été modifié s’applique directement à son cas personnel.
Le Chef de Communication de la Fecafoot explique ce qui change.