Condamné en Espagne à une peine privative de liberté de 22 mois, Samuel Eto’o a vu son mandat prorogé par l’AG. En réalité, si le Cameroun était un pays de droit, il ne serait plus Président de la Fécafoot. Un des articles des statuts de l’institution, le 47, prevoyait une perte de responsabilité en cas de perte de qualité des prérequis du poste, listés à l’article 36. Même s’il a été élu pour quatre ans, il a fait voter le principe de retroactivité. Il est donc installé jusqu’en décembre 2028.
Et si en septembre 2028, cela lui sied, il pourra une fois de plus re-proroger l’affaire jusqu’en 2055.
Source: Canal2 International