Sept minutes après son entrée en jeu vendredi au cours d’un match du championnat roumain qui opposait son équipe le Dinamo Bucarest au Viitorul Constanta, Patrick Ekeng, 26 ans, s’est écroulé sans un contact. Transporté d’urgence à l’hôpital, il n’a pu être réanimé. Depuis, son décès provoque de l’émoi au sein du monde sportif. Ses compatriotes footballeurs, n’arrêtent pas de lui rendre hommage sur les réseaux sociaux. Si d’aucuns ont choisi de publier une photo de « Patou » sur leurs profils respectifs, d’autres ont préféré lui dédier un message.
Samuel Eto’o : « Je suis en émoi car les tristes images de ce drame, survenu ce soir, m’en rappellent un autre : celui du 26 juin 2003 à Gerland. Comme un record battu de tristesse et de tragédie, Patrick Ekeng @ekeng20 nous a quitté, frappé par la mort en pratiquant le métier qu’il a appris et qui nous unissait tous : le FOOTBALL. Je suis complètement effondré et abattu! C’est totalement incompréhensible de partir si jeune (26 ans), avec un talent certain, dont les premiers rayons illuminaient déjà le maillot vert, rouge et jaune. Le football avait encore besoin de toi, mais la vie en a décidé autrement. Reposes en paix jeune frère! ».
Georges Mandjeck : « #RIP Patrick Ekeng que la terre de nos ancêtres te soit légère ».
Aurélien Chedjou : « Un lion ne meurt jamais, il se repose, les mots me manquent ».
Stéphane Mbia : « Our cameroon football family has lost a brother. I cannot believe this. Condolences to his family. RIP Patrick Ekeng ».
Ambroise Oyongo : « RIP RIP tu resteras dans mon cœur à jamais frère ».
Henri Bédimo : « Les mots me manquent, RIP Patrick … ».
Adolph Teike : « Les moments passés avec toi sont inoubliables depuis titi garage passant par les sélections junior et senior, surtout nos virées nocturnes, matchs d’exhibition, insultes. Réserve-moi une place de choix dans ton nouveau monde. SEE YOU. Tu as vécu en homme libre et tu es mort en brave en réalisant ton rêve »
Par Arthur Wandji