Passif, mais omniprésent. Le pouvoir politique camerounais n’a pas l’intention de laisser l’instance faîtière contrôler à elle seule, la passion des Camerounais pour le football. Le gouvernement, parfois par le truchement du chef de l’Etat en personne continue de porter un regard sur le sport-roi, fédérateur des esprits dans un pays où la pluralité ethnique et le multiculturalisme engendrent souvent de vives oppositions.
Le pouvoir de Yaoundé intervient en tant que tutelle suprême dans le recrutement des entraîneurs, la sélection de certains joueurs, le financement des équipes nationales et des championnats professionnels. Et n’hésite pas à arbitrer les crises à la Fécafoot tout en contournant la notion «d’ingérence» tant combattue par la Fifa. Zoom sur quelques facettes de ces jeux politiques du football qui, dit-on, visent la sauvegarde de l’image de marque du pays aussi bien au plan national, qu’international.
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