A la veille de la rencontre Cameroun – Côte d’Ivoire, le directeur du stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé fait le point des préparatifs de cette rencontre. Nous l’avons rencontré pour vous.
Quel est l’état des préparatifs de ce match Cameroun – Côte d’Ivoire au niveau de la direction des stades ?
Tout se passe bien. Et comme vous le savez, ce n’est as la première fois que ce stade accueille ce genre d’événement. Nous avons essayé de mettre les petits plats dans les grands et je pense qu’à l’heure actuelle tout est fin prêt pour que ce match se déroule dans de bonnes conditions.
L’on s’inquiétait un peu de l’état de cette pelouse. Comment l’avez-vous aménagée ?
Justement, elle a été fortement endommagée lors du passage des P-Square, à l’occasion de ce fameux concert au Cameroun. Mon équipe technique à qui je dis bravo, a vraiment appliqué ce qu’elle a appris à l’école japonaise. Vous voyez que la pelouse a fière allure en ce moment. Je suis satisfait d’avoir tenu ce pari de remettre cette pelouse à jour.
Qu’en est-il des dispositions pratiques ?
On a imprimé 35 740 billets, le même nombre qi avaient été mis en vente lors de Cameroun – Moldavie. Les prix restent les mêmes.
C’est-à-dire ?
Les prix sont les mêmes, c’est-à-dire 1000F pour les virages, 3000F pour les tribunes A et B, sous tribune présidentielle, 10000F et 40000F pour la tribune présidentielle. Ce sont des Lions new look que tout le monde va vouloir venir voir et nous espérons que le Délégué du Gouvernement va solliciter des courtes permissions aux employeurs afin qu’ils accordent de courtes permission aux gens, afin que tout le monde vienne au stade.
Et quelles sont les précautions prises au niveau de la sécurité ?
Comme d’habitude, je crois que les forces de l’ordre vont faire leur travail. Les réunions se succèdent même au niveau du ministère, pour les modalités pratiques liées à ce match. Ceux qui vont tenter d’escalader les murs seront traités comme des bandits de grands chemin et traités comme tels. Des chiens seront là pour cela aussi.
Entretien mené par Antoine Tella à Yaoundé