Après les belles images entre Cyrille Tollo, Nkou Mvondo et Etienne Tamo, l’agent du Minsep explique les contours de cette rencontre.
Ce sont de belles images parvenues de Kampala qui ont fait le tour de la toile au Cameroun. Cyrille Tollo, conseiller technique au Minsep et des employés de la Fecafoot, Etienne Tamo et Nkou Mvondo tout sourire.
Les personnalités dans une ambiance bonne enfant ont fait oublier, le temps d’une rencontre les crispations qui existent entre les deux institutions qu’ils représentent. Les protagonistes se sont expliqués sur ces images au micro de nos confrères d’Equinoxe.
Pour le responsable de la Fecafoot, Prosper Nkou Mvondo, le ministère a enfin reconnu les prérogatives qui sont celles de la Fecafoot :
« Cyrille Tollo est venu à l’hôtel de la Fecafoot pour remettre les passeports des joueurs. Au ministère, ils ont compris que la légalité est du côté de la Fecafoot. »
Nkou Mvondo via Équinoxe radio
De son côté, Cyrillle Tollo se veut plus diplomate. La rencontre pour lui, est un signe d’apaisement :
« D’abord, il faut noter que monsieur Cyrille Tollo et monsieur Nkou Mvondo n’ont jamais eu de problème individuel. Nos institutions respectives avaient des opinions divergentes, chacun défendant son institution. Cependant, en venant à Kampala, comme précédemment à Luanda, le Ministre des Sports a prôné l’apaisement. Dnos ce contexte, nous avons pris contact avec notre estimé aîné, le professeur Nkou Mvondo, et décidé de nous rencontrer pour travailler ensemble, chacun dans la limite de ses responsabilités. Nous avons rappelé que l’organisation technique de cette rencontre incombe à la Fecafoot, et que le ministère n’a pas l’intention d’interférer, aah ce n’est pas dans nos missions. La rencontre a été très courtoise et fraternelle. Nous sommes venus à Kampala dans le cadre d’une mission dont l’objectif a été défini par le ministre des Sports. Nous étions également porteurs d’un message que le ministre camerounais des sports a envoyé à son homologue ougandais, qui a mis à notre disposition l’administration ougandaise pour faciliter les dispositions protocolaires ».
Cyrille Tollo via Équinoxe Radio