La Fecafoot a menti lorsqu’elle a présenté le huis clos du match entre le Cameroun et le Malawi comme étant causé par les protocoles COVID-19. Seidou Mbombo Njoya avait mal estimé les conséquences de cet autre gros mensonge. Et c’est le courrier du Secrétaire Général de la CAF, Veron Mosengo Omba, qui nous éclaire sur les vraies raisons de l’impossibilité de recevoir les spectateurs et des professionnels des médias. Lorsque la CAF décide que ce premier match des éliminatoires va se jouer au Stade Paul Biya, elle le fait sur la base « d’informations tronquées ».
C’est pour cela que le 2 septembre dernier, Seidou Mbombo Njoya a été alerté par l’instance africaine dans un courrier qui force le huis clos au Stade Paul Biya du Complexe d’Olembé plutôt que de prendre une mesure plus radicale.
Ce courrier nous apprend que cette infrastructure, si l’état du terrain de jeu est satisfaisant, l’état d’avancement des travaux inquiète quant à la sécurité des supporters. Le joyau ne serait donc pas à 95% terminé tel que l’on le clame depuis plus d’un an.