Leur entrée au stade était à chaque fois spectaculaire. Dans, tortillement des reins, cris d’orfraie et de joie, ils ont assuré le spectacle. Mais cela n’a jamais été â sur le terrain. Lors de la première rencontre contre le Ghana, la raison était parce que le groupe n’affichait pas complet. Contre le Mali, la prestation soporifique a été masquée par la victoire étriquée, mais victoire tout de même. Il leur fallait un match nul contre l’Égypte, mais c’est une défaite de 1 but contre 2 que ce groupe a encaissé ce soir au Caire. La défaite de trop.
Le Cameroun a donc amplement le temps de continuer de pratiquer ses danses. Ne dit-on pas que rira bien qui rira le dernier ?