Tom Saintfiet n’est pas un clown. Il peut parfois provoquer certes, en appelant l’un des meilleurs complexe hôteliers d’Afrique une écurie. Il peut parfois fabriquer des histoires, comme le fait de faire une mise en scène et mettre 7 joueurs par chambre pour développer la théorie de « eux tous contre nous ». Et c’est avec des trucs de coach rompu au métier qu’il arrive à tirer le meilleur de ses joueurs.
Il a réussi, à la veille de son match de ce lundi, à totalement attirer les regards ailleurs, pour que les médias ne racontent pas des choses dithyrambiques sur la chance, pour un petit poucet, d’arriver à ce niveau de la compétition. Et maintenant qu’il a atteint le but qu’il s’était fixé, il veut s’offrir des bonus. Et il l’a dit, même avant le début du dernier match de ce lundi, que ce serait contre le Cameroun. La Gambie a réécrit l’histoire de la Coupe d’Afrique des Nations en devenant la première nation à jouer le second tour pour sa première participation. Et après être passée par le tour préliminaire. Le sélectionneur a aussi une qualité. Il est un mutilateur hors-pair. On le découvre lors de cette compétition. Ses envolées lyriques propulsent ses joueurs vers des sommets immémoriaux. Il les connait et parle à leur coeur, mais aussi à leur tête. Il sait aller les chercher là où ils comprendront. Attendons donc de voir quelles autres sottises d’ici quelques jours, ou lors de son arrivée et/ou pendant son séjour à Yaoundé où se disputera samedi la première demi-finale. Parce que c’est avec ça qu’il oriente les médias ailleurs de manière à garder intacte la concentration de ses joueurs. Le Cameroun, pays organisateur, est bien sa cible. Il faudra par contre surveiller Musa Barrow qui connait un excellent tournoi. Il a participé de manière régulière à l’offensive de sa sélection nationale en participant aux buts inscrits à chacun des matchs de la Gambie, dont 2 buts et 2 passes de but. >>>>>> La fiche de Musa Barrow Les Lions se doivent donc de rester concentrés et de ne rien laisser qui vienne perturber leur tranquillité. Si le monde entier ne supportait que les Comores dans leur match des huitièmes de finale, c’était bien parce que c’était l’équipe cendrillon. Émotions, fanatisme, et militantisme anti-camerounais, se sont faits jour, porté des par des journalistes de France Football et l’Équipe tel que @Nabil_djellit et quelques autres qui dénigrent le Cameroun et l’Afrique en permanence. La Gambie est la dernière équipe cendrillon. Elle espère bien que son conte de fées ira au delà des quarts de finale, pour réécrire l’histoire à leur manière.
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