Dans son mot de bienvenue, après avoir remercié les envoyés de la FIFA et de la CAF, les deux instances mères, le normalisateur en chef a insisté être resté fidèle à ses deux idéaux que sont, « la bonne gouvernance et la neutralité ».
« Oui ! la neutralité. Nous ne nous attendions pas à être jugés parce que nous avons une conscience, et quand nous examinons cette conscience, elle est tranquille » a titillé l’homme qui a réussi à soutirer des murmures de désapprobation de l’audience pour ne pas le traiter de mythomane : « Nous nous sommes battus de notre mieux pour la bonne gouvernance et la neutraliste. Oui messieurs et nous en somme fiers »
Ce mercredi, ce sera le tour de l’assemblée élective, qui va désigner parmi les sept candidats en lice celui qui va diriger la destinée de l’instance pour les quatre prochaines années, s’il complète son terme.
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