Annonçant un choix qui pourrait surprendre tout le monde, Jean-Armel Kana-Biyik avouait encore dans les colonnes de léquipe que ses représentants avaient eu des gens du staff de l’équipe de France au téléphone. Une sortie médiatique que son père ne souhaite pas commenter. André Kana-Biyik ne veut pas faire de l’ombre vis à vis du travail de son frère cadet, sélectionneur national adjoint.
L’ancien international camerounais s’indigne tout de même de n’avoir jamais été contacté dans la démarche entreprise par la fédération camerounaise de football, organe technique chargée de mettre son fils (sur le plan statutaire) à la disposition des équipes nationales du Cameroun. La suite de l’entretien menée par Clobert Yonpang. André Kana-Biyik