Ce fut une douce nuit pour Inter Milan. Tout le monde l’attendait. On parle bien des plus de 70 000 personnes présentes au Meazza. C’est un équipe de Inter concentrée, précise, généreuse, attentive, léthale, magnifique qui a été bercée par le rugissement de San Siro. Combative, parce que jusqu’à la 99e minute, elle a repoussé chaque ballon, fermé chaque espace, chassé chaque danger. Et pourtant, ce match Inter – FC Barcelone ne s’annonçait pas facile pour les Italiens.
Cette victoire de 1-0, contre Barcelone réconforte. Comme cela n’était arrivé qu’en 2010 à San Siro. La signature de la soirée est l’oeuvre de Calhanoglu. Il a tout fait dans un match: combattre, récupérer, illuminer, frapper. Mais la chorale a été changé par tous. Onana et sa défense ont limité l’impact de Lewandowski. Dimarco a mis le feu au flanc. Les milieux de terrain se sont battus à travers le rythme ensorcelant de Gavi et Pedri. Les attaquants ont été toujours bons à garder la défense adverse sur ses orteils. Voici les trois points, qui ont porté l’Inter à six.
Le Meazza était en ébullition, l’Inter devait faire face à l’incroyable possession de balle des Blaugrana mais devait le faire sans offrir de grosses occasions. De Vrij a été très bon pour tenir Lewandowski à distance. Il fallait contenir l’éclisse fde Barcelone, Dembélé qui sévit sur la droite. Mais, de ce côté, il y a un grand Dimarco.
Sans plusieurs de ses joueurs, blessés, suspendus, ou mis de côté, l’Inter Milan qui a du mal en Serie A, s’est donné de l’air. Avec un André Onana qui contrôle et replace ses défenseurs à merveille.
Avec cette victoire dans cette rencontre Inter – FC Barcelone, le club italien passe devant le FC Barcelone et est le dauphin du Bayern Munich.