Emmanuel Ndoumbè Bosso, entraineur Yosa « mes enfants ont compris qu’un match, ça dure quatre-vingt-dix minutes »
Ce point est un point sur lequel on ne peut cracher. Nous connaissions notre adversaire et savions de quoi il était capable, et ce que je vais dire c’est que mes enfants ont compris qu’un match, ça dure quatre-vingt-dix minutes, et tant que l’arbitre n’a pas sifflé la fin, il faut jouer. Ils ont cru et ils ont maintenu le cap, ils ont obtenu l’égalisation ; et nous pensons que avons simplement fait l’essentiel. Les deux équipes ont eu un niveau très acceptable, mais en face, l’adversaire aura quelque peu flanché pendant les premières minutes de la première mi-temps et même à la fin du match. Ça s’explique, puisque le match de mercredi dernier (contre Unisport en match en retard de la 21ème journée, ndlr), était très intense à Bafang. Nous savons ce qu’il en ressort et je crois que c’est une très bonne équipe.
Joseph Ndoko, entraineur Aigle « il faut que nous-mêmes révisions nos leçons »
Nous avons des certes des regrets après ce nul, mais ça n’enlève rien en la qualité de l’adversaire qui était en face. Nous avons réagi comme on l’avait souhaité en deuxième mi-temps. Nos matchs, les prends très vite, mais là, on a un peu dormi en première mi-temps. Mais ça commence à faire un peu à faire trop, il faut que nous-mêmes révisions nos leçons. Chaque fois, on marque pour nous et on marque pour l’adversaire. Pourquoi ça arrive toujours ? C’est la troisième fois que nous perdons des points de manière, c’est regrettable. Bien que cette rencontre n’était pas n’était pas difficile, nous l’avons rendu difficile. On prend un but sur une erreur de communication.
Gaël Tadj, de retour de Dschang