Au journal L’Equipe, le jeune défenseur central du stade rennais est sans ambages: « J’ai donné ma parole à la Fédération camerounaise ». Un choix qui vient marquer la fin d’un long feuilleton entre la volonté du staff technique national et les ambitions personnelles du fils de l’ancien international André Kana-Biyik.
Tout laisse à croire que le très prometteur défenseur central du stade rennais attendait en priorité un signe de Laurent Blanc. Une attente aux antipodes des choix du sélectionneur des Bleus qui visiblement aurait une liste de joueurs ne portant pas le nom de Jean Armel Kana-Biyik.
« Je peux le dire : j’ai choisi le Cameroun. Il n’y aura pas de revirement. J’ai donné ma parole à la Fédération camerounaise, a-t-il déclaré au journal L’Equipe. Je sais que Laurent Blanc ne changera pas son groupe, qui s’est qualifié pour l’Euro. Au Cameroun, il y a une réelle envie de me voir jouer avec le maillot vert, une envie que je n’ai pas sentie en France. »