L’attaquant camerounais évoque sa situation et celle de son club Levante de son club classé 16ème sur 20 en Liga espagnole. Meyong Zé fait rarement partie du onze de départ, mais ne semble pas résigné.
« De la même façon que nous défendons tous, nous devons tous attaquer. Les ballons pour marquer doivent venir de l’arrière. C’est évident que nous créons des occasions et que nous arrivons bien devant les buts adverses, mais il faut voir comment nous y parvenons. On peut s’améliorer et nous y travaillons ».
Albert Meyong Zé, joueur de Levante, a reconnu qu’il se sent « un peu vexé » par les critiques que reçoivent les attaquants à cause du manque de réussite face aux buts, car à son avis, il s’agit d’un problème qui touche l’ensemble de l’équipe, et non pas seulement ceux qui jouent à la pointe de l’attaque.
Le camerounais a également indiqué qu’il espérait jouer un peu plus, « comme tous les professionnels« , et a ajouté que s’il disposait de plus de temps de jeu, il est convaincu qu’il « donnerait un peu plus« . « Tout dépend de l’entraîneur, il faut être prêt pour toute opportunité qui se présente« , a-t-il indiqué.
Le meilleur buteur du championnat portugais lors de la dernière saison a indiqué qu’il se considère comme un joueur de surface, et que à Levante il joue un peu plus éloigné du but adverse. « En ce moment, je joue un peu plus loin, mais j’essaie de rentrer dans ce système« , a t’il affirmé.
« Cette expérience est difficile pour moi, puisque j’étais habitué à jouer toutes les semaines et à célébrer les buts. Tout est nouveau cette année, la manière de jouer, le football espagnol est meilleur que le football portugais, et je dois donc travailler plus« , a ajouté l’attaquant camerounais.
Au sujet de la situation de l’équipe, Meyong Zé a reconnu que toute le monde garde très présent à l’esprit l’objectif prioritaire du club : le maintien. « On va aller chercher la victoire lors des prochaines rencontres, car c’est la seule façon de rendre positif le match nul obtenu à Barcelone« , a t’il conclu.
Traduit de l’Espagnol par Guy everard Mbarga
Source: As.com